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  • Photo du rédacteurDenis Boisclair

Apprendre à faire des questions en anglais, 45 mots suffisent.

Apprendre à faire des questions de toutes sortes, 45 mots suffisent.

45 mots placés sous différentes combinaisons vous permettent plus de 2000 phrases interrogatives, ce, avec un seul verbe. Si un élève se permettait l’apprentissage de 100 verbes, sa banque de phrases pourrait atteindre le chiffre 200,000.


Donc, 135 mots appris suffiraient pour être capable de formuler 200 milles questions, toutes différentes. Difficile à visualiser. Tout ça. Difficile à croire aussi. Vous me direz, un peu fort. Pour l’instant toute cette idée de grandeur demeure des pièces de casse-tête à assembler une à une dans le cerveau de l’étudiant.


Ce serait donc impossible qu’un étudiant de 6ième au primaire puisse atteindre ce niveau, même s’il connaissait les 135 mots. Voyons: Comment pourrait-il s'y prendre?


Sa mission :

  • Apprendre les pronoms: I, you, he, she, it, we, you, they. On y ajoute Mary et John pour 10 mots.

  • Apprendre les auxiliaires suivants : am, is, are que l’on associe comme 1 mot. Nous ferons de même pour was et were. On ajoute do et does pour 1 mot aussi. Pour l’instant, on calcule 3 mots. Did, will, can, may, should, would, could, must, shall et have complètent la liste pour un total de 13 mots.

Si on formule des phrases interrogatives avec le mot manger, nous aurons une possibilité de 130 questions. On est loin des 2000 questions proposées.

  • N’oublions pas les mots interrogatifs qui viennent s’en mêler. 17 mots ou combinaisons de mots nous viennent en aide pour ce calcul. What, where, when, why, what kind of, what time, which one, which (things), whose, who, how et ses autres formulations how much, how many, how often, how long, how far, how old, etc… sont les mots interrogatifs proposes pour cet entretien.


Vérifions nos calculs :  Si nous formulons une question impliquant les 4 mots, nous aurons comme par exemple : What do you eat? Si on multiplie 130 questions possibles avec seulement les auxiliaires et les pronoms (Mary et John inclus) à 17 choix de mots interrogatifs, on aura 17 x 130 =2210 combinaisons possibles.  Oups, on oublie les 130 questions qui doivent s’ajouter pour la somme de 2340 questions.


Tout ça est logique, mais demeure un amoncèlement de pièces de casse-tête à proposer à nos apprenants. La vue d’ensemble me semble encore floue. Comment y arriver pour s’assurer que l’élève puisse assimiler tout ça phrase par phrase.  Il y aura toujours certains liens qu’il pourra faire entre do you eat? et do you drink?


Illustrer en graphique:


C’est là que l’idée de graphiques du genre mind map nous vient en aide pour visualiser tout ça. Un mind map nous permet d’organiser l’information sous la forme d’un tout inclus en une image.

Autrement dit : faire le casse-tête de nos 2000 pièces en ne plaçant que 45 d’entre elles.  Par un mécanisme, l’élève pourrait organiser sa question. Il n'aurait qu'à bouger les anneaux du mécanisme. Un vidéo plus bas dans le texte vous montre ce mécanisme for simple.


En même temps, l’élève comprendrait que l’ordre des mots est le même.  C’est pour cela que la roue des questions en anglais est formidable. L’élève apprend à travailler avec la roue des questions et très rapidement comprend toute la logique qui consiste à formuler des questions en anglais. L'apprenant pourra intégrer cette logique et la logique de la roue vivra dans son cerveau.



Ajoutons les 90 verbes traduits du français en anglais sous 4 différentes formes pour compléter cet outil pédagogique ultra efficace. 180 milles questions, ça vous dit.

Le dos de la roue, une occasion d'apprentissage formidable.




Cet outil pédagogique est seulement 14,95$can




Notre étudiant de 6ième y arrivera-t-il sans cet outil?

 

 Denis Boisclair

Concepteur

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